Céline Castets-Renard
Céline Castets-Renard
Chercheure régulière
Professeure titulaire, Section de droit civil, Faculté de droit Chaire de recherche de l’Université sur l’intelligence artificielle responsable à l'échelle mondiale


Salle 
FTX 311


Biographie

Céline Castets-Renard est titulaire de la Chaire de recherche de l’Université sur l’intelligence artificielle responsable à l'échelle mondialechercheure régulière au Centre de recherche en droit, technologie et société de l’Université d’Ottawa, et professeure titulaire à la Section de droit civil de la Faculté de droit.

Les travaux de recherche de la professeure Castets-Renard portent sur le droit et la régulation du numérique dans des domaines variés de droit privé allant de l’impact de la technologie sur les contrats et la responsabilité civile à la propriété intellectuelle, à la protection des données personnelles, au commerce électroniques, en passant par les questions éthiques liées à la régulation des voitures autonomes et la cybersécurité. Ses travaux l’ont mené à être nommée à la Chaire de recherche du Gouvernement français “Law, Accountability and Social Trust in AI” au sein d'ANITI (Artificial and Natural Intelligence Toulouse Institute, ANR-3IA). 

Avant de se joindre à l'Université d'Ottawa, la professeure Castets-Renard a été professeure de 2012 à 2019 à l’Université Toulouse Capitole en France, où elle avait auparavant été maître de conférences en droit privé de 2002 à 2012. En plus de son rattachement à l’Université de Toulouse, elle a été professeure invitée en 2011-2012 à l’Université de Nouvelle-Calédonie, où elle a mené des travaux de recherche sur la protection des savoirs autochtones.

En 2015, elle a été nommée membre junior du prestigieux Institut universitaire de France. Cette nomination de cinq ans lui a permis de mettre l’accent sur son programme de recherche qui porte sur la régulation du numérique, mais également de réaliser un séjour de recherche aux États-Unis à la Fordham Law School où elle a été récipiendaire d’une bourse Fulbright ainsi qu’auprès du Internet Society Project, Yale University.